Rêves, Évolution et Résilience : Comment la persévérance redéfinit nos rêves

Si je devais remonter une boîte un jour, je crois que je ferais vraiment tout différemment. Créer une société, en vrai, c’est gratuit ; avoir une idée pour aider un max de gens, ça aussi, c’est gratuit. Et cette phase de conception, c’est carrément la meilleure, parce que t’es en train de construire quelque chose de neuf, et le plus dingue dans tout ça, c’est que, sans le vouloir réellement, toi aussi, tu changes. Nouveau mindset, nouvelle vision des choses. Ce regard que t’as sur le monde devient ta réalité, et là, tu réalises que ce n’est plus la même que celle de tout le monde. Tu continues à avoir des discussions avec tes proches, mais tu te rends compte que ce qui est normal pour toi ne l’est plus forcément pour eux. T’es toujours toi, mais quelque chose a clairement évolué.

J’ai toujours eu des rêves plein la tête, peut-être un peu naïf sur certains trucs. Comme l’amitié, par exemple : j’étais convaincu que mes amis seraient là à vie, qu’on pouvait se disputer, mais que ça ne changerait rien. Sauf que la fameuse phrase "les gens changent," ce n'est pas complètement faux. Quand j’ai lancé ma première boîte, je pensais que les commandes allaient pleuvoir au point de ne plus savoir comment gérer. La réalité ? J’ai jamais vu mon premier prototype, et je me suis fait arnaquer deux fois. Aujourd’hui, ça me fait sourire, parce que j’ai compris que c'étaient juste des étapes pour en arriver là, à préparer le lancement de ma propre marque de bagagerie. Les épreuves te forgent, mais ça ne veut pas dire qu’il faut devenir aigri.

Je crois vraiment que les rêves sont là pour être réalisés, et qu’on ne doit jamais avoir honte d’eux. Il faut les dire, les crier même, et faire tout ce qu’on peut pour les voir se concrétiser. Avoir des rêves en rafales et les accomplir un à un, jusqu’au bout. Ce n'est jamais trop tard.

Un de mes rêves, c’est de faire le tour du monde, assez classique, mais je compte bien le réaliser. J’ai aussi envie de parler cinq langues. Je trouve que j’ai de la chance d’avoir appris le plus dur dès la naissance : le français ! Je parle "français", mahorais, anglais. J’ai chopé des bases en espagnol au Mexique, et je sais que c’est qu’une question de temps avant de la maîtriser. Et ma dernière ambition : le japonais !

Et toi, dis-moi en commentaire quels sont tes rêves, même ceux que t’as jamais partagés avec personne ? Et quelle langue tu rêverais de parler ?

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